« C'est ta faute »

Ma journée avait empirée d'heure en heure, depuis mon réveille jusqu'à présent. Fusillant Lexie du regard, je froncais les sourcils tandis qu'elle me souriait de toute ces dents. Espèce d'assassin, avais je envie de crier mais tout les gens autours de nous allait nous prendre pour dès fou.. Si j'avais su ce qui allait se passer ce matin aucun doute que je serai rester dans mon lit. Au reveil j'avais eu droit a une magnifique crise de couple avec Erica. Quelle besoin avait-elle de sortir de mon lit a 4heure de matin pour rentré chez elle en catimini ? Elle avait dit la vérité a Aaron et Jack la vie pouvait devenir normal. Hé bah apparemment non. Je n'avais jamais été du matin aussi lorsqu'elle avait chercher a me réveiller pour me dire au revoir je n'avais pas pu retenir une remarque acide, et la dispute avait commencer, elle avait pester contre mon manque d'organisation et moi contre son coté névrosé maniaque, elle était partit en claquant la porte et alors que s'était précipité pour la rattraper, après tout c'était ma faute; mon pied avait butter contre le sac de sport que Lexie avait laisser trainer et je m'étais étaler de tout mon long tandis que ma fiancée partait furieuse. Et si encore cette journée n'avait comporter que ça. A peine étais je arriver au bureau, qu'une folle furieuse m'avait agresser pour teste un a un tout les matelas du magasin, ne pouvait-elle donc pas en choisir un seul et me foutre la paix. Visiblement je l'avais dit a voix haute puisqu'elle n'avait cesser de crier de sa voix nasillarde que j'étais qu'un connard, jusqu'à ce qu'Alec arrive et ne m'ordonne de rentré chez moi. Ce que j'avais fait sans discuter. Je pensais pouvoir passée une après midi tranquille mais Lexie avait quitter du travail plus tôt elle aussi et visiblement énerver, sans doute encore a cause de Jackouille pour pas change, elle m'avait trainer au club de tennis de notre résidence. La partie avait tourner court lorsque d'un revert un peu trop fort, ma meilleure amie m'avait envoyer la balle dans plein dans le nez tandis que sa raquette s'éclatai contre mon front. Etalé au milieu du court, en sang je l'avais juste se précipiter vers moi affolée, le sang coulait abandonnant de mon nez et une bosse de la taille d'un oeuf commençais a grossir sur mon crane.

« Je déteste les femmes », grognais je tandis qu'elle m'aidai a me relever.

Le trajet depuis l'hôpital, se passait dans un silence tandis entrecoupé de mes gémissements de douleur. Je ne suis pas une brute, quand j'ai mal j'éprouve le besoin de le signaler. Et voilà que nous étions assis dans cette hôpital bombé, surchauffée et le temps ne passait pas. Lexie risqua un coup d'oeil vers moi tandis que je tâtais précieusement mon nez abîmer.

« Je vais avoir une patate a la place du nez », me plaignis je d'une voix rendu pathétique pas mon nez bouffer pour éviter l'écoulement de sang.