▬ Madjulinah Alexa Dawson

◘ Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, ou paraplégique si on a pas de bol



© Aqualune

» 22 ans » 3 mars 1988, NYC » Etudiante » Polygame (je déconne, hein) » Mila Kunis » F.R.I.E.N.D.S like Chandler




Celui qui disait toute la vérité…



Vous rappellez vous dans Friends, l'épisode 22 de la saison 5; Phoebe a lancé un petit jeu. Une dizaine de questions à la suite, et il suffit d'y répondre le plus rapidement possible. Sans réfléchir, sans détailler. Ces questions vous caractérisent, expriment vos goûts, et vos pensées les plus intimes. Alors à vous maintenant :


Friends a écrit:

Phoebe : Je te donne deux possibilités et tu réponds très vite.
Joey : (très vite) D’accord.
Phoebe : Attends ! On commence. Détends-toi. Respire profondément. Fais le vide dans ton esprit.

Le beurre ou les oeufs ? Les oeufs (c'est plus facile à jeter sur les gens!)
Être pompier ou nageur ? Pompier
Coucher avec Monica ou Rachel ? Monica
Cravate ou ruban ? Ruban
Action ou comédie ? Comédie
Mouillé ou sec ? Mouillé
Tu crois aux fantômes ? Non
Tic ou Tac ? Tic
Jour ou nuit ? Nuit
Homme ou femme ? Homme
La flore ou la faune ? La flore
Brad Pitt ou Johnny Depp ? Johnny
Votre Friends préféré ? Chandler
La carrière de Joey va t elle décoller un jour ? Pourquoi, vous me remboursez mon écran plat si c'est le cas?


Celui qui était derrière l'écran…



•• Prénom/Pseudo: Aqua'
•• Âge: 20
•• Où avez vous connu le forum ? Muahaha.
•• Comment le trouvez vous ? ♥♥♥♥♥
•• Présentation : [] En cours ou [X] Terminée
•• Autre chose à ajouter ?

Celui qui nous parlait de sa vie…





Cher journal, Non, je peux pas le faire! J'ai jamais été fichue de tenir un journal intime de ma vie, je vais pas commencer maintenant. Elles me font marrer ces minettes qui croient qu'elles peuvent coucher la quintessence de leur être sur le papier après avoir lu un bouquin de psycho et fait deux trois tests dans un magazine pour ménagères de moins de cinquante ans. Allez, j'ai vingt-deux ans. Je ne suis qu'un foetus à l'échelle de ma vie de grande fille. Et encore, je dirais même plutôt une morula. Papa, sors de mon corps. Bon allez, je réessaye... Après tout c'est pas comme si j'avais quoi que ce soit d'autre à faire à cette heure-ci. Mais y a pas moyen que je raconte ma vie à quelqu'un qui s'appelle "Journal". Chère Gertrude, J'ai décidé que tu serais un travesti brésilien de soixante-dix ans. Là, t'es tranquillement assis sur un transat vert, tu fais du point de croix en regardant l'océan et tu t'apprêtes à m'écouter. Bon, on va se la jouer conventionnel et commencer par les présentations! Je m'appelle Madjulinah Alexa Dawson. Si ton cerveau est assez performant, t'auras remarqué la signification de mes initiales. Prémonitoire? J'y crois pas. En tout cas ça me fait bien marrer. Madjulinah. Oui je sais, j'ai un prénom à coucher dehors mais je ne m'en plains pas, au contraire. Entre le volcan Eyjafjallajökul et Apichatpong Weerasethakul, c'est carrément à la mode en ce moment. Et puis, entre nous, personne ne m'a jamais obligée à coucher dehors après avoir lu ma carte d'identité hein! Toutefois, en pratique, les intimes m'appellent Madja, Maddie ou Linah. A part ça, je prépare mon Bachelor of Sciences à la NYU et je suis sur le point de te raconter ma vie. T'en a de la chance ma petite Gertrude! Citation : ▬▬ 28 OCTOBRE 1991, 12:30, CUISINE MADJA ▬ J'étais un bébé moi avant? ASLAN ▬ Ben oui banane, comme tout le monde... MADJA ▬ AH OUAI? Toi aussi tu te bourbouillais avec tes ptits pots? Et toi aussi tu mettais des couches-cucu? Hahahahahahaha le bébé! Hahaha... Mais... Comment vous m'avez faite d'abord? DAVID ▬ C'est pas très compliqué, tu prends deux pronuclei issus de deux gamètes haploïdes, ensuite ben, amphimixie, syngamie, fécondation, segmentation, gastru.. LEILEEN ▬ Mon cœur, laisse-moi faire. Il y a sept ans, papa et maman vivaient dans le même immeuble. Ils sont tombés sous le charme l'un de l'autre, ils se sont aimés très fort et, tu sais chérie, quand on s'aime très fort, parfois, le papa laisse tomber une petite graine dans le jardin de la maman. C'est comme ça qu'Aslan est né... MADJA ▬ Aslan c'est un narbuste? Hihihihihi! LEILEEN ▬ En quelque sorte oui! rire. Et trois ans plus tard, on a décidé de faire un autre bébé.. TOI! MADJA ▬ Moi aussi je suis un narbuste? Mes parents m'ont souvent parlé de cette conversation et de la tête choquée que j'avais tirée tout en lâchant ma cuillère et en régurgitant ma compote. Persuadée d'être un arbuste, j'étais sur le point de renoncer à mes barbies et d'aller me planter quelque part dans Central Park. Ils ont mis longtemps à me convaincre que j'étais encore une petite fille. Bref. J'ai été une gamine heureuse. Calme, curieuse, affectueuse... Presque parfaite quoi. Mon seul défaut était que je n'étais pas fichue de manger proprement. Mon frère tentait souvent de me corrompre et de m'embarquer dans ses conneries. Etant donné qu'il était grand, je le suivais. L'avantage c'était qu'il se faisait toujours punir à ma place même lorsqu'il n'était pas l'instigateur de la bêtise. Et moi, ça me faisait bien marrer. Si on y réfléchit, je suis toujours plus ou moins la même. Calme et sereine mais espiègle. Mais un peu moins naïve, bien évidemment. Que dire d'autre à propos de mon enfance? J'ai embrassé mon premier garçon à l'âge de 6 ans. Il s'appelait Jimmy McRose. Son nom de famille était d'ailleurs la seule chose qui se rapprochait de la célèbre fleur parce que son haleine, c'était plutôt parfum chou de Bruxelles. Ce petit saligaud avait tenté d'introduire sa langue dans ma cavité buccale et s'était pris une baffe bien méritée. J'avais passé toute la soirée à me brosser les dents. Mes gencives s'en souviennent encore. A part ça, je n'ai pas cru au Père Noël bien longtemps parce que, même à cinq ans, ça me paraissait tout de même physiquement aberrant qu'un gros monsieur et une tripotée de rennes puissent voler sur un engin carrément pas aérodynamique, faire le tour de la terre en quelques heures et surtout passer par la cheminée sans en foutre partout. Lorsque j'ai confié pour la première fois mes doutes à mon père, il a failli faire une syncope et se mettre à pleurer de joie. Citation : ▬▬ 03 JUIN 2000, 17:15, SALLE DE BAIN MADJA ▬ Papaaa, je viens de me faire coller. DAVID ▬ Toi, collée? C'est une blague! Qu'est-ce que t'as fait? MADJA ▬ Ben... j'ai oublié de prévenir la prof de chimie quand j'ai mis le mentos dans la bouteille de coca. Du coup j'ai trashé son tailleur à 500 dollars. DAVID ▬ T'inquiète pas ma puce, je vais te la faire sauter ton heure de colle. Elle comprend rien à la science ta prof, c'est scandaleux. Mais hey, comment tu parles toi? J'ai hérité de mon père sa curiosité et son esprit scientifique. Lorsque j'étais petite, il m'emmenait parfois au travail et je passais des heures à le regarder bosser. Quand je l'entendais parler avec ses collaborateurs, je n'y comprenais rien. Du moins pas plus qu'un mexicain monoglotte devant un film d'auteur sud-coréen. Toutefois, j'étais fascinée par la logique et la précision de la nature et la façon dont l'homme tentait de la maîtriser. Et puis il faut dire que ses collègues me trouvaient tellement adorable qu'ils me gavaient de bonbons. A l'école, j'ai toujours endossé le rôle de l'élève modèle. J'ai vite appris à me servir de mes atouts et à échanger des devoirs contre des services et objets divers et variés. C'est d'ailleurs en faisait l'exposé de littérature d'une petite bourge que j'ai obtenu mon premier portable. J'avais dix ans. J'ai réussi à cacher l'objet pendant trois semaines mais dès que mes parents l'ont découvert, il n'a pas fait long feu. Citation : ▬▬ 14 NOVEMBRE 2004, 15:05, LYCEE LUCAS ▬ Madja, veux-tu m'épouser? MADJA ▬ Non. LUCAS ▬ ... MADJA ▬ Je rigole! Enfin non, je rigole pas... Mais t'es très gentil! Malgré mon côté major de promo, je dois avouer que j'avais un certain succès à l'époque, surtout auprès des "vieux" d'ailleurs. Probablement l'effet scientifique inaccessible et l'attention attirée par le fait que tout le monde s'amusait de la différence d'"étiquette" qu'il pouvait y avoir entre mon frère et moi. Mais depuis l'affaire Jimmy McRose, j'ai toujours été extrêmement sélective et difficile sur le plan mecs et, je te l'avoue, je trouvais ça plutôt marrant de leur foutre des râteaux. Il fallait bien que quelqu'un leur apprenne la dure réalité de la vie à ces jeunes hommes. Contrairement à l'image qu'on se fait de l'intello boutonneuse qui passe ses pauses repas seule au fond de la cantine, j'avais des amis aussi. Et pas que dans le club de bio du lycée. Pour tout te dire ma petite Gertrude, j'ai eu un début d'adolescence on ne peut plus banale. Après les premières semaines de collège, j'ai compris que ça ne servait pas à grand chose de courir après la popularité. Je préférais me foutre de la gueule des cheerleaders et des soi-disant beaux-gosses qui leur tournaient autour. De toute manière, je préférais de loin fantasmer sur les copains de mon frère. C'est drôle, à l'époque j'avais l'impression d'avoir une tonne de problèmes existentiels mais, quand j'y repense, je réalise que ma vie était alors plutôt douce, simple et tranquille. Ah, l'insouciance. On ne se rend compte de sa valeur qu'une fois qu'elle s'éloigne. Citation : ▬▬ 29 JUILLET 2005, 13:45, SALON SARA ▬ Miss, éteins cette télé. MADJA ▬ ... SARA ▬ Maddie? Eteins cette télé! MADJA ▬ ... SARA ▬ MADJULINAH! MADJA ▬ Hein? SARA ▬ Arrête, tu te fais du mal. L'engagement d'Aslan dans l'armée. Je me souviens de cette époque comme si c'était hier. Au début, j'étais très fière de lui. Je l'ai toujours été. Toutefois, le manque, l'absence et la peur ont rapidement pris le pas sur ce sentiment d'estime dans l'équation finale. Le problème quand quelqu'un dont tu es proche s'en va, c'est que t'as l'impression qu'on t'ampute d'une partie de toi-même. Et avoir une de tes jambes qui se ballade à dix-mille kilomètres de ton os coxal, c'est pas très pratique pour marcher. La relation que j'entretiens avec mon frère a toujours été fusionnelle. Nous sommes du genre à se comprendre en un regard et à anticiper les désirs et paroles de l'autre. Toutefois, je n'en avais jamais vraiment eu conscience jusqu'au jour où je l'ai vu partir. Au fil des premières semaines de séparation, je me suis complètement éteinte. J'ai fini totalement "loquifiée", telle une lampe de poche à qui il manque une pile. Le pire, c'était lorsque je n'avais pas cours ni aucun devoir obligatoire pour m'occuper. Je passais alors mes journées à ne rien foutre, tétanisée devant CNN, à regarder les bombes tomber à travers l'écran. J'avais l'impression d'être davantage proche de mon frère de cette façon même si chaque image me donnait une furieuse envie de gerber. S'il avait été là, il m'aurait probablement foutu un coup de pied dans le cul pour que je bouge du canapé et que je sorte avec mes potes, que je vive quoi, mais moi, je n'en avais aucune envie. Au moins, lorsque je bombardais mon esprit d'images, celui-ci était trop saturé pour penser. Mon attitude faisait peur à ma mère. Elle craignait peut-être que je fusionne avec la banquette ou que je finisse lobotomisée, alors elle appelait mes potes pour qu'ils me sortent. Ca marchait. Pendant une heure ou deux. Citation : ▬▬ 31 DECEMBRE 2006, 23:30, MARQUEE TOM ▬ Linah, viens avec nous! Si tu continues à fixer ton verre tu vas finir par te noyer dedans. MADJA ▬ J'arrive! TOM ▬ Allez, qui est-ce que tu vas embrasser à minuit si tu restes toute seule? Ta main? MADJA ▬ Bon, je finis mon verre et je vous rejoins. TOM ▬ T'as intérêt sinon je reviendrais en personne te tracter jusqu'à la piste de danse! Je me souviens que ce soir là, j'étais descendue sur la piste et j'avais souri toute la soirée jusqu'à en avoir des crampes. A l'usure, j'avais acquis un jeu d'actrice de la mort qui tue. En effet, je faisais souvent semblant d'aller bien histoire d'éviter de blaser tous mes amis et de garder un semblant de vie sociale. Or, on avait beau tenter de me distraire, la peur ne me quittait pas. J'avais en quelque sorte l'impression qu'Aslan était en train de subir une opération chirurgicale extrêmement périlleuse et qu'à tout moment, le médecin pourrait surgir et m'annoncer avec une compassion étiolée par l'expérience que c'était fini. La seule différence étant qu'elle durait depuis sacrement longtemps, cette intervention. Avec le temps, ma vie de tous les jours s'était organisée autour d'une routine rassurante et de bonheurs artificiels si bien que le quotidien avait repris ses droits. Toutefois, à chaque fois que la sonnette retentissait, mon cœur se soulevait. Mon regard croisait et soutenait celui de ma mère quelques secondes, puis je finissais toujours par aller ouvrir la porte. Lorsque que ma main frôlait le métal froid de la poignée, je sentais mes surrénales se vider. Je ne vous raconte pas combien de réflexions à la con j'ai essuyé à propos de mon teint blafard et de mes yeux exorbités. Mon facteur a probablement cru que j'étais une vraie psychopathe et m'a d'ailleurs donné la carte de sa psy. Bien évidemment, Aslan n'en a jamais rien su et je ne lui en parlerai pas de sitôt. Certes, il se doute bien qu'après l'avoir accompagné à l'aéroport, je n'étais pas allée jouer à saute-mouton dans la prairie en riant et en chantant Dragostea Din Tei mais je ne pense pas qu'il réalise à quel point toute cette histoire m'a atteinte. Or, je n'ai jamais voulu qu'il sache que j'ai été faible ou, pire, qu'il culpabilise. Du coup, à chaque fois qu'on se parlait par webcam, je lui racontais des blagues débiles en souriant et je m'inventais des petits copains. Je me souviens notamment de Dean Teague, mélange de Dean Winchester de Supernatural et de Jason Teague de Smallville, un gamin tout droit venu de son Texas natal qui aurait lancé un feu d'artifice artisanal en forme de coeur pour me déclarer sa flamme. Je me demande bien comment il a réussi à avaler cette histoire. Bref. Depuis qu'on s'est retrouvé, j'ai pu rallumer la lampe torche qui me sert de joie de vivre et je le lâche plus le pauvre! Toutefois, je vois bien qu'il a changé et qu'il a vécu quelque chose que je ne pourrais jamais comprendre. Citation : ▬▬ FEVRIER 2010, 16h, MATERNITE MADJA ▬ Tu l'as appelée JANICE?? Comme JANICE Littman-Guralnick? Pauvre petite, avec un nom pareil elle est condamnée! ASLAN ▬ Mais non banane!! JaniS, comme Janis Joplin! MADJA ▬ Han, je préfère. Quoi que, si elle prends "Cry Baby" à la lettre, c'est toi qui est condamné à souffrir! Tsss Gertrude, je t'avoue que j'ai eu vraiment peur sur le coup! Je veux dire, tout New-York a entendu parler de ou, pire, entendu parler Janice Littman-Guralnick. Et je connais peu de parents capables de tenter le diable au point d'appeler leur gosse comme elle. Heureusement que cette adorable petite fille a une marraine qui veille à son bien-être futur quoi. Bref. C'est quand on commence à vous appeler tata que vous vous rendez compte que vous devenez vieille. Ou du moins adulte, genre. Cette idée me fait flipper parce que, merde, je suis encore une jeune femme qui a envie de s'amuser et de profiter de la vie. J'ai envie de faire des batailles de champagne, de voler des lapins dans les labos de bio et de les teindre en rose, de me déguiser en Marilyn Monroe et de faire la conne au dessus d'une bouche d'aération, de gueuler du ACDC devant une maison de retraite, de choisir un joueur de foot et vider mon verre cul sec à chaque fois qu'il touche le ballon, de mettre un peu de folie dans ma vie quoi. C'est pas au moment où je commence à en avoir marre d'être tout le temps sérieuse que je vais commencer à mener une vie pépère à la métro boulot dodo! C'est décidé, Janis aura une tata folle. C'est moi qui la traînerai dans les bars et qui lui apprendrai à jouer au poker. Pas sûr qu'Aslan et Lehann soient d'accord. Tant pis, on se cachera. Citation : ▬▬ 15 JUIN 2010, 22h, O'DOHERTY'S MADJA ▬ Hé les gens, pourquoi la splanchnopleure c'est le feuillet interne? LIZ ▬ Pff mais arrête, on la connaît celle là. JOHN ▬ Non, moi je veux savoir! MADJA ▬ Parce que ... attention, la chute arrive... PARCE QU'ELLE SE PLANQUE! -no pleure! Elle est à PLEURER de rire hein? JOHN ▬ Je sais pas si je préfère celle-ci ou celle du frigo et du magnet.. LIZ ▬ A ce niveau, c'est dur de trancher. MADJA ▬ Tsss, si vous êtes trop cons pour apprécier mon formidable humour, c'est votre problème les gars. Allez, on trinque? Voilà, tout ce chemin nous amène à ce soir. Je t'avoue que j'ai sauté quelques passages importants du style remise de diplôme, acceptation à la fac ou première relation sexuelle mais je commence à m'endormir sur tes pages ma pauvre Gertrude. Et j'ai mal au poignet. Et j'ai honte de ma blague de ce soir même si, en même temps, je me voue une certaine admiration. Bref. Je crois que toute histoire a droit à son épilogue, non? Pour conclure, disons que je suis devenue une jeune femme plutôt respectable si on met entre parenthèse mon penchant pour la boisson, mon humour à deux balles et mon côté bordélique. Mais que voulez-vous, c'est ce qui fait mon charme! Franchement! Je viens de me relire. Enfin pas en entier parce que là, c'est plus un journal intime mais un ROMAN intime mon truc. Sérieux. On dirait un extrait de Confessions Intimes. (Oh, ça fait trois fois intime. Je vais le signaler comme ça on fera genre que c'est une figure de style). Ça craint. Je me demande bien quel brachycère m'a piqué pour que je commence à te raconter ma vie ma petite Gertrude. Enfin bon, tu sais bien que quand on a un coup dans le nez, on a souvent des idées bizarres! Allez, je vais arracher ces pages et les foutre au hasard dans un de mes bouquins. Ça me fera sûrement marrer de relire mes conneries un de ces jours. Ciao Bella!

Bienvenue parmi nouuus ! & bonne chance pour ta fiche ! ;D

Bienvenue parmis nous Madjulinah =)

rewelcoooooome
bonne chance pour ta fiche

MERCI LES COCOS ♥♥

aaaaaah, elle te va bien au teint la mila ♥♥. j'te jure, j'te vois tellement bien avec

Welcome ♥

MERCI à toutes/tous!
Oh yeah !! C'est cool de retrouver ma petite Mila.

MERCI VOUS DEUX! J'ai fini

Merci miss!!

HIN JADORE ♥♥.
tu gères aqua'
t'as le droit de t'autovalider tu sais (; ♥.

Merci!! Han les fiches écrites à 2h du mat', y a que ça de vrai, c'est plein de conneries et de n'importe quoi... Va falloir que je repasse avec mon détecteur de fautes je crois ^^.

Ouaiii j'avais pas osé!